Le courrier des lecteurs d'Alésia News
Nous recevons de plus en plus de retours sur le contenu de nos articles. Il est temps de mettre en visibilité la diversité et la beauté des opinions des habitants du quartier.
Alesia News est un média en ligne qui s'efforce de proposer des informations pertinentes et diversifiées à ses adorés lecteurs et lectrices. Cependant, nous sommes conscients que nos articles excèdent souvent vos attentes et cela peut susciter de la colère, interrogations et préoccupations vis-à-vis des autres médias. C'est pourquoi nous encourageons activement nos lecteurs à nous écrire pour partager leurs opinions, leurs commentaires, leurs suggestions, leurs histoires ou leurs critiques. Chaque jour, nous recevons des dizaines de courriels qui témoignent de l'engagement de notre communauté grandissante. Nous sommes fiers de pouvoir offrir à nos lecteurs une voix et un moyen de s'exprimer.
Si vous aussi, vous souhaitez nous faire part de votre point de vue, n'hésitez pas à nous écrire à l'adresse ci-dessous. Nous sommes impatients de vous lire !
Le choix fut extrêmement difficile, vous retrouverez néanmoins ci-dessous notre sélection de lettres et courriels de la part de nos lecteurs.
Réaction à notre article sur la location de perceuses et ses conséquences pour le quartier
Confession intimes d'un lecteur sur le syndrome de Vallier, une histoire touchante : âmes sensibles s'abstenir
Cher journal,
En tant que fervent lecteur d'Alesia news, je vous ai toujours suivi avec plaisir aux quatre coins d'Alesia. Vos pérégrinations dans le métro m'ont fait voyager et vos reportages caméra au poing dans les soirées Alésienne m'ont coupé le souffle. Sans mentionner vos enquêtes sur l'économie boulangère locale qui ont de quoi faire rougir Elise Lucet.
Quel plaisir donc de voir que votre journal s'exporte à l'étranger, et pas n'importe où !!!...Dans ma ville : Bruxelles !
C'est un honneur qu'un média de cette ampleur s'intéresse à une petite ville comme la nôtre. J'ai même fait lire votre article à Mr le Maire (pas Bruno), et il a été enchanté. "ils vont nous rebooster l'économie local ces cons" qu'il a dit. A quand un reportage à Pyongyang ou à Moscou ? Après tout, c'est ça aussi le journalisme total.
Je ne vous écris pas seulement pour vous remercier mais également pour apporter ma contribution à l'effort journalistique. J'ai été tellement touché par le portrait d'Aloïs et sa maladie que je suis allé à sa recherche après que vous ayez perdu sa trace.
Comprenez : un vieil ami à moi a également été touché par ce syndrome de Vallier. Cela commence par les ongles qui tombent et les dents qui se déchaussent. Ce sont les premiers signes d'une tumeur au cœur, entraînant l'arrêt progressif du fonctionnement normal des autres organes. La seule manière pour le malade de survivre est de pomper l'oxygène et l'énergie d'un hôte. Tout ceci reléguant irrémédiablement votre ami au rang de parasite...
Mais cessons de remuer le passé.
Me voila donc à la recherche d'Alois. C'est accoudé au bar attenant le Glass Union Dropping (GUD) - le club local de glass dropping- que je le trouve. Connu pour être un membre important du GUD, je savais qu'il serait là-bas.Accompagné au bar par une jeune femme (une certaine Zoé J.), il ne me faut pas longtemps pour comprendre que la maladie est à un stade avancé. Je m'approche et malheur ! Zoé est en béquille. Plus de doute: Alois est en quête d'un hôte.
En effet, le malade préférera toujours les individus les plus fragiles, pour qui la fuite n'est pas une option. Ne pouvant laisser faire ça, j'interviens et tire par la manche cette pauvre femme. Une altercation éclate entre lui et moi - le malade n'acceptant pas de voir sa proie lui échapper. Quelques coups sont échangés mais il ne me faut pas longtemps pour terrasser l'homme qui - d'un naturel déjà bien faible - est rongé par la maladie.
Par la suite, Alois a été pris en charge par les autorités compétentes. J'apprendrai plus tard qu'il a été mené dans un centre spécial pour les malades atteint du syndrome de Vallier- à Clifden en Irlande. Face à cette maladie aujourd'hui incurable, ce centre s'essaye à des tests cliniques très prometteurs. Il s'agit ici de détourner l'attention du malade vers un autre type de proie: un animal bien connu au pays de la Guinness et de McGregor.... les moutons ! Le centre nous a annoncé qu'Alois vivait aujourd'hui avec un hôte et qu'il était très heureux. Une photo réjouissante m'a même été parvenue (censurée).
Zoé elle s'en est tirée indemne et ne garde aucune séquelle de cette expérience traumatisante. Son opération des ligaments croisés s'est très bien passée.
Quant à moi, je me sens fière d'avoir aidé ce pauvre homme. Depuis cette bagarre avec Alois, je me sens cependant très faible. Ce n'est sûrement rien mais il faudra à l'occasion que je fasse voir cette morsure au cou à un spécialiste.
Au plaisir de vous lire très rapidement.
Avec toute mon amitié,
Victor
Réaction à notre article sur la situation désastreuse des trotinettes à Alésia par Marjorie Nina Grossain
Bonjour,
À l'heure où les médias nationaux comme les publications locales se soumettent aux bons vouloirs de leurs actionnaires, au détriment de l'info, Alésia News continue de privilégier l'enquête de terrain tout en maintenant une vraie transparence sur ses processus éditoriaux.
En tant que lectrice inquiète de l'état du monde, cela me rassure beaucoup pour l'avenir du journalisme. Merci à l'équipe !
Bien cordialement,
Marjorie Grossain
Réaction à notre reco-restau : l'amérique s'invite à Alésia par Victor M.
Bonjour,
Véritable chineur de saveur, je suis toujours à la recherche de nouvelles sensations gustatives. C'est donc avec une confiance aveugle que je me suis laissé tenter par ce restaurant américain qui fait le sujet de votre dernier article. Je dois avouer que je n'avais jusque là jamais été déçu d'Alesianews : votre dernière recommandation m'avait enchanté: la pizza 3 points du RU d'Ecully était effectivement un délice.
Mais là je dois dire que je suis tombé de ma chaise.
Tout d'abord, le service était extrement mauvais. J'ai attendu le serveur au moins 45 minutes à ma table.... et il n'est jamais venu. C'est au client de se lever pour commander maintenant ! Je n'ai jamais vu ça. Et rien ne sert d'attendre: le serveur ne viendra jamais !!
Ensuite, je ne parlerais pas de la qualité de ce qui m'a été servi. J'ai beau avoir cherché: impossible de trouver le steak dans mon burger. Puis cette forme allongé: c'est idiot, on dirait une baguette. Y'avait même pas de frites !!
Last but not least, comme on dit en américain, permettez moi de vous dire que sur le chemin depuis Bruxelles, je suis tombé sur plusieurs établissement portant le même nom !!!
Il ne m'a pas fallu longtemps pour découvrir le pot au feu: il s'agit d'une chaine de fast-food !!!!! Vous vous êtes fait berné, con comme vous êtes !
Non vraiment, venir de Bruxelles pour ça, ça ne valait pas le coup !
Victor M. - éternel râleur.