Le traffic de stupéfiants ravage-t-il notre beau quartier d’Alésia ?

Le traffic de stupéfiants ravage-t-il notre beau quartier d’Alésia ?
Ceci n'est pas du magnésium ni de l'antidiarrhéique mais bien de la drogue

Drogue, alcool, sexe, le quartier d’Alésia pourtant tranquille en journée se transforme en un véritable repère de malfrats la nuit. Certains gangs ont soif de pouvoir et n’hésitent pas à faire régner la terreur dans les rues sombres et dans les appartements lugubres du quartier. Heureusement les forces de l’ordre restent extrêmement réactives.

Dans ce quartier aux facettes innombrables, nous retrouvons une bande de jeunes actifs qui souhaitent “mettre du piment” dans leur soirées. En effet, l’un d’entre eux avait pris le risque pour l’ensemble du groupe en commandant une poudre blanche aux effets euphoriques. Nous n’avons pas pu identifier la substance active se cachant dans la poudre. Nous avons néanmoins suivi ces jeunes lors de la soirée, tous disent avoir passé une soirée fantastique. Pourtant derrière cette constations joyeuse se cache une vérité toute autre.

« Flemme de travailler demain... »

Pour la police, il y une réelle recrudescence de ce phénomène. Les conséquences sont bien réelles, les jeunes ne veulent plus travailler et préfère s'abrutir devant les réseaux sociaux. En un mois, pas moins de cinq plaintes ont été déposées dans le quartier d'Alésia uniquement. C'est complètement en décalage avec les quartiers voisins, on assiste aujourd'hui à une hausse massive du phénomène. Pour le commissaire Pedro Gué, les personnes droguées n'osent pas aller au commissariat puisqu’elles sont coupables. Ce sentiment de culpabilité empêche selon lui de freiner les ravages de la drogue puisque les personnes ne se dénoncent pas d’elles même.


Abonnez vous pour recevoir nos derniers articles !

Votre superbe adresse de courriel electronique (ta meyre)