Compétition eSport à Montpellier : plus jamais !

League of Legends, souvent abrégé en LoL, est un jeu vidéo très populaire qui se déroule dans un monde fantastique rempli de champions aux compétences uniques et diverses. Deux équipes s'affrontent pour détruire la base de l'équipe adverse tout en défendant la leur. Chaque joueur contrôle un champion avec des pouvoirs spéciaux et doit travailler en équipe pour vaincre les adversaires. Un mélange de sport d'équipe et de stratégie, où la coopération et la coordination sont essentielles pour gagner.

C’était donc ce week-end à Montpellier que s’est déroulée la LEC (League of Legends European Championship): la ligue professionnelle et européenne de League of Legends. Deux équipes composées de 5 joueurs professionnels de niveau stratosphérique se sont battues pour décrocher victoire. Sur place, la foule est en délire et se réjouit de chaque « kill », comprenez « meurtre » !

C'est un peu comme la ligue 1 de football, où les fans suivent leurs équipes préférées regardent les matchs pour voir qui en sortira victorieux. On peut néanmoins relever une différence notable : au football on ne se réjouit pas des « kills ». On peut également noter que les supporter de football sont bien mieux adaptés a la vie en société puisque la majorité d'entre eux regardent le football en vrai ou font du football eux-même. Ils restent beaucoup moins abrutis derrière leurs écrans. Il suffit d’assister à une compétition de football pour se rendre compte de la maturité sociale d’un groupe de supporters...

Lorsque nous nous sommes rendu sur place : aux LEC, nous avons réalisé que 100% des spectateurs avaient les yeux rivés sur des écrans. Une drôle de manière de profiter d’une compétition sportive, du jamais vu ! Bien différent d’une compétition de sport classique !

Selon René Mitrou de Balle 87 ans et psychologue en sociologie des sports, l’absorption du spectateur juvénile devant l’écran numérique favoriserait la déconnexion avec le monde réel et favoriserait l’apparition de troubles neurologiques profonds et permanents suscitant l’agitation, l’impulsivité, l’hostilité et l’agressivité. Explications :

« De mon temps, nous n’étions pas rivés sur notre portable comme aujourd’hui. Les jeux vidéo et les écrans sont un véritable catalyseur du déclenchement des troubles adaptatif sociaux. Mais ce n’est pas tout ! En plus de rendre les jeunes asociaux et inapte en société, l’ensemble de la dimension violente des jeux vidéo se transmet au monde réel. Personnellement je trouve que c’est une perte de temps. A l’époque je préférais battre ma femme afin de me défouler, paix à son âme. »

Après ces explications lumineuses, nous avons décidé d’enquêter. Alésia News reste un journal d’envergure internationale, nous avons décidé de remonter le filon de la violence afin de démanteler ces pratiques d’aucun qualifieraient d’obscures. Nous nous sommes adressés directement à Rito Games éditeur et créateur de League of Legends. Nous avons mis l’ensemble de nos ressources sur le sujet et nous avons envoyé un mail au service client qui est resté sans réponse depuis plus de 2 jours. Comme par hasard : un silence qui résonne tout comme un aveux de culpabilité !

Quelles sont les réelles motivations d’une entreprise qui assume vendre du divertissement de manière gratuite ? Comment un tel modèle économique peut-il fonctionner sans vendre de la violence et contrôler les masses ? Si nous avons appris quelque chose c’est que lorsqu’un service est gratuit, l’utilisateur est en fait le produit. Un exemple ? Wikipédia et ses fake news.

Jusqu’où Rito Games va-t-il continuer son emprise sur la jeune génération, et à quel prix ?!

Alésia News continuera l’enquête coûte que coûte.